La musique recommandée pour cette section Amanda Lear
Souvent les textes demanderont à être déchiffrés car difficiles à distinguer du fond. Cet effort participe à un entraînement lent des yeux qui se réhabituent ainsi à découvrir activement plutôt qu'à ingurgiter passivement, ou pire encore inconsciemment.
GAFA non passeran se gargarisait-il en mauvais franglespagnol...
Il y a plusieurs centaines de clichés et d'images
dans ce labyrinthe de plus de 150 pages différentes
Si vous êtes arrivés jusque là...
C'est parce que vous aimez musarder sur la toile virtuelle, je vous invite à plonger dans un monde parallèle et banal mais largement inédit. Ici, il n'y a aucune discrimination: clichés, mots, idées, sentiments, collages, clichés, figures scientifiques, musique, tout participe au même effort, celui de mettre en évidence l'unicité du monde des sens.
Lorsque le sens esthétique dialogue avec la vue ou l'ouie, alors vient la sérénité de la contemplation.
dans ce labyrinthe de plus de 150 pages différentes
Si vous êtes arrivés jusque là...
C'est parce que vous aimez musarder sur la toile virtuelle, je vous invite à plonger dans un monde parallèle et banal mais largement inédit. Ici, il n'y a aucune discrimination: clichés, mots, idées, sentiments, collages, clichés, figures scientifiques, musique, tout participe au même effort, celui de mettre en évidence l'unicité du monde des sens.
Lorsque le sens esthétique dialogue avec la vue ou l'ouie, alors vient la sérénité de la contemplation.
Copyright et plagiat
La plupart des clichés, images, textes sont une production personnelle, tout y est à copier puisque rien ne peut nous appartenir lorqu'il s'agit de réactions à ce que le monde projette dans nos vie. Et pourtant tout ce qui a été produit par d'autres est évidemment crédité car je leur suis infiniment reconnaissant d'avoir partagé leurs pensées, leurs images, leur musique surtout, qui font partie intégrante de l'expérience de confusion de la perception à laquelle je vous invite ici
Idéologie, vous avez dit idéologie?
Ne cherchez aucune prison graphique, aucune concession sauF à ma Fantaisie qui a explosé à la lecture des ouvrages inoubliables d'Edward Tufte ainsi que la sémiologie graphique de Jacques Bertin, découverte en 1980 et qui m'a si souvent accompagné dans mes excursions intellectuelles.
La plupart des clichés, images, textes sont une production personnelle, tout y est à copier puisque rien ne peut nous appartenir lorqu'il s'agit de réactions à ce que le monde projette dans nos vie. Et pourtant tout ce qui a été produit par d'autres est évidemment crédité car je leur suis infiniment reconnaissant d'avoir partagé leurs pensées, leurs images, leur musique surtout, qui font partie intégrante de l'expérience de confusion de la perception à laquelle je vous invite ici
Idéologie, vous avez dit idéologie?
Ne cherchez aucune prison graphique, aucune concession sauF à ma Fantaisie qui a explosé à la lecture des ouvrages inoubliables d'Edward Tufte ainsi que la sémiologie graphique de Jacques Bertin, découverte en 1980 et qui m'a si souvent accompagné dans mes excursions intellectuelles.
Tout coule de sources évidemment
Elles s'appellent Mademoiselle Meylan pour m'avoir libéré de la peur de la mort, Docteur Nounours pour la lumière dans la nuit la plus sombre, Bernardette pour m'avoir fait sentir le mouvement de la terre, Ernest pour le voyage initiatique à Dachau mais aussi pour avoir traduit la flore helvétique, Camus pour la liberté mentale, Joelle pour l'initiation à la pensée systémique, Fredéric pour une leçon inoubliable sur la perception de l'espace, Jacqueline pour la sémiologie graphique, Gregory pour sa nature de la pensée, Hubert pour sa patience dans l'azur, Edouardine pour la dimension cachée, Carlos pour avoir proposé une initiation, Roger pour ses facies models, Erica pour avoir ouvert le troisième oeil, celui des cycles sédimentaires, D'arcy Wentworth Thompson pour avoir combiné forme et croissance, Eduard pour la représentation cartographique du relief, Valentine pour l'initiation à la peinture abstraite et Vincent pour sa correspondance lumineuse, Henriette pour ses souvenirs entomologiques, Arlette pour sa description magnifique et complète de Lascaux et André pour avoir relié peinture rupestre, language et rythmes dans un concept multisensoriel, sans oublier Alfred Jarry pour avoir créé le seul, l'unique père ubu. Il n'est évidemment pas vrai que la moitié de mes références auraient été produites par des femmes (nous savons le silence avec lequel on les enferme dans l'oubli collectif), mais il me plaît de penser que c'est la dimension féminine de tous ces créateurs qui m'aurait parlé droit au coeur.
Il y a aussi l'influence des expériences intimes qui le resteront. Pourquoi salir l'espace public avec ses déjections internes alors qu'il est possible d'ébranler le lecteur à travers le simple dédale d'images se téléscopant entre elles et en lui? GAFA no passaran...
Elles s'appellent Mademoiselle Meylan pour m'avoir libéré de la peur de la mort, Docteur Nounours pour la lumière dans la nuit la plus sombre, Bernardette pour m'avoir fait sentir le mouvement de la terre, Ernest pour le voyage initiatique à Dachau mais aussi pour avoir traduit la flore helvétique, Camus pour la liberté mentale, Joelle pour l'initiation à la pensée systémique, Fredéric pour une leçon inoubliable sur la perception de l'espace, Jacqueline pour la sémiologie graphique, Gregory pour sa nature de la pensée, Hubert pour sa patience dans l'azur, Edouardine pour la dimension cachée, Carlos pour avoir proposé une initiation, Roger pour ses facies models, Erica pour avoir ouvert le troisième oeil, celui des cycles sédimentaires, D'arcy Wentworth Thompson pour avoir combiné forme et croissance, Eduard pour la représentation cartographique du relief, Valentine pour l'initiation à la peinture abstraite et Vincent pour sa correspondance lumineuse, Henriette pour ses souvenirs entomologiques, Arlette pour sa description magnifique et complète de Lascaux et André pour avoir relié peinture rupestre, language et rythmes dans un concept multisensoriel, sans oublier Alfred Jarry pour avoir créé le seul, l'unique père ubu. Il n'est évidemment pas vrai que la moitié de mes références auraient été produites par des femmes (nous savons le silence avec lequel on les enferme dans l'oubli collectif), mais il me plaît de penser que c'est la dimension féminine de tous ces créateurs qui m'aurait parlé droit au coeur.
Il y a aussi l'influence des expériences intimes qui le resteront. Pourquoi salir l'espace public avec ses déjections internes alors qu'il est possible d'ébranler le lecteur à travers le simple dédale d'images se téléscopant entre elles et en lui? GAFA no passaran...
Un mot sur la structure peut-être?
Ce site est construit systématiquement, obéissant à des contraintes chronologiques, thématiques, visuelles, techniques, esthétiques, cherchant à exciter chaque sens dans un ordre qui dépend de la navigation, qui comprend elle aussi des court-circuits, des culs-de-sac, des boucles de rétro-action. Il n'existe pas de carte de ce site (un comble au vu des références géographiques qu'il contient) car il devrait s'écouter comme une fugace brise qui ferait son chemin à travers votre perception du monde pour la modifier de façon permanente. Rassurez-vous, je ne fais pas les méchancetés des sorcières, je vous égarerez un peu en vous-même en agitant des symboles auxquels vous devrez réagir!
Il est séparé en quatre parties distinctes (mais il y a de nombreux chemins de l'une à l'autre).
D'abord un peu de théorie, la première partie veut partager dans un langage structuré et clair quelques leçons tirées de 4 décennies d'étude de la Terre.
La seconde moitié d'un même cycle mental est une collection d'images et de textes qui sont peut-être simplement des digitalisations possibles de la représentation du monde .
La troisième partie présente des applications concrètes des méthodes esquissées, mais paradoxalement souvent en fouillant la mémoire digitale que les images s'alignent,
Enfin une quatrième partie assez différente attrape puis disperse des clichés, des cris du coeur, des dessins digitaux, des histoires emberlificotées, qui trament ensemble un essai de littérature digitale, une création qui se veut originale dans la forme comme dans le propos même si elle se revendique clairement avec une esthétique post-punk pour ne pas dire néo DaDa.
Ce site est construit systématiquement, obéissant à des contraintes chronologiques, thématiques, visuelles, techniques, esthétiques, cherchant à exciter chaque sens dans un ordre qui dépend de la navigation, qui comprend elle aussi des court-circuits, des culs-de-sac, des boucles de rétro-action. Il n'existe pas de carte de ce site (un comble au vu des références géographiques qu'il contient) car il devrait s'écouter comme une fugace brise qui ferait son chemin à travers votre perception du monde pour la modifier de façon permanente. Rassurez-vous, je ne fais pas les méchancetés des sorcières, je vous égarerez un peu en vous-même en agitant des symboles auxquels vous devrez réagir!
Il est séparé en quatre parties distinctes (mais il y a de nombreux chemins de l'une à l'autre).
D'abord un peu de théorie, la première partie veut partager dans un langage structuré et clair quelques leçons tirées de 4 décennies d'étude de la Terre.
La seconde moitié d'un même cycle mental est une collection d'images et de textes qui sont peut-être simplement des digitalisations possibles de la représentation du monde .
La troisième partie présente des applications concrètes des méthodes esquissées, mais paradoxalement souvent en fouillant la mémoire digitale que les images s'alignent,
Enfin une quatrième partie assez différente attrape puis disperse des clichés, des cris du coeur, des dessins digitaux, des histoires emberlificotées, qui trament ensemble un essai de littérature digitale, une création qui se veut originale dans la forme comme dans le propos même si elle se revendique clairement avec une esthétique post-punk pour ne pas dire néo DaDa.